



Nom complet : Jean-Amédée Lefroid de Méreaux,
Né à Paris, le 17 septembre 1802 – décédé à Rouen, 25 avril 1874. Musicologue, pianiste et compositeur français. Sa musique, tout en l'obscur, est peu connue en raison de ses difficultés parfois immenses, son œuvre la plus célèbre : 60 Études, op. 63, par exemple, son étude de la « Bravoure », n ° 24, a des passages où les deux mains du pianiste traversent sur l'autre en même temps.
Une rue à Rouen porte son nom.
Né le 16 novembre 1854 à Metz (Moselle) - Chirurgien et dirigeant sportif français. Après ses études à Metz et la défaite de 1870, il se réfugie à Paris où il participe activement à la conférence Olivaint dont il devient le premier président. Après son internat et sa thèse, son parcours professionnel le conduit dans différents hôpitaux de la capitale et de la banlieue où il développe des recherches et innovations médicales. Membre d’un patronage, ses convictions morales et religieuses l’amènent à y instaurer une pratique de la gymnastique destinée à faire des patriotes chrétiens. Son investissement dans le domaine associatif se traduit par la fondation, en 1898, de la Fédération gymnastique et sportive des patronages de France devenue depuis Fédération sportive et culturelle de France qui s’adjoint rapidement les activités de sports collectifs (football et basket-ball) ainsi que la musique (fanfares). Il est décédé le 21 novembre 1923 à Paris.
Né à Fécamp le 12 janvier 1818, Joachim Michel, a été nommé le 3 septembre 1848 (au tout début de la seconde République), au conseil d’arrondissement. Le 22 avril 1857 La bibliothèque municipale ouvre dans le nouvel Hôtel-de-Ville, il en est le bibliothécaire. Il fait paraitre 2 ouvrages : En 1857, Causeries sur Fécamp, Yport, Etretat … puis en 1865 Notices sur le port de Fécamp. Le 13 avril 1867, il est remplacé au poste de bibliothécaire de la ville par M. Sylvestre, agent-voyer[1] en retraite. Il se tourne alors en compagnie de Paul Vasselin vers le journalisme. Le 31 mars 1870, la société Michel et Cie est constituée pour la fondation d’un journal. Le Progrès de Fécamp, qui fait paraître son premier numéro le 5 mai 1870. Les bureaux de l’imprimerie sont rue Sainte-Croix (rue Paul Vasselin) n°22, il va dès l’ors multiplier les conflits et le 13 février 1871, il annonce que : Le Progrès de Fécamp, suspend sa publication, pendant quelques temps, pour ne pas se soumette aux prescriptions à cause de la guerre. Puis le 28 novembre 1871 Joachim Michel gérant du Progrès de Fécamp, est condamné par le tribunal correctionnel du Havre à 5 jours de prison, 500 frs d’amende, 2000 frs de dommages et intérêts pour avoir diffamé M. Corneille. Il décède le 26 décembre 1871
Né à Bordeaux le 4 octobre 1854, M. Ferdinand Moreau est arrivé à Fécamp en 1891, ancien sous-chef de musique au 67e régiment d’infanterie, il prend la direction de l’Harmonie de la Bénédictine, fondée par M. Alexandre Le Grand père, et en fait de suite une phalange artistique de tout premier ordre. Musicien de grande valeur, directeur énergique et habile, il conduit la société dans les plus importants concours de musique où elle triomphe d’une façon éclatante. Avec un égal talent et une bonne volonté semblable, il dirige la Symphonie Amicale présidée par M. Louis Solsou où Il orchestre toutes les revues locales jouées par la Symphonie dans les dernières années qui précédent la guerre. Son mérite musical lui vaut la rosette d’officier d’académie. Il décède le 21 février 1917 à son domicile fécampois 33, rue Léon Dégenétais. Il laisse des œuvres justement estimées et que le public fécampois aime à entendre. Cœur excellent, serviable et dévoué, il ne comptait parmi nos concitoyens que des sympathies. (Extrait du Journal de Fécamp - 23 février 1917)
Journaliste et imprimeur : Né le 5 août 1835 à Dieppe, son père Jean Nicolle, (1793-1869) est Professeur de langues.
A Fécamp on le connait : Rédacteur en Chef de "La Plage Normande” Journal des bains de Fécamp - Etretat et Yport", dont Alfred Dury est administrateur, le bureau de rédaction est situé passage Sautreuil ; ce journal qui parait tous les jeudis du 30 juin au 29 septembre, sera publié (en un premier temps) en 1862 et 1864.
Louis Nicolle, retourne dans sa ville natale Dieppe, et devient rédacteur en chef, à “La Vigie de Dieppe” (parution de 1836 à 1920).
Il décède le 1er août 1871, à l'âge de 35 ans 11 mois.
NILSON HÉLÉNE (Melle) : Artiste lyrique du théâtre français de Rouen ?Participe à la distribution des revues locales : Tout pour les Dames et As-tu vu l’miniss ?!!
NOËL Georges :
NORMANDY Georges Pseudonyme de Georges Charles Segaut

Georges Normandy, est le né le 1er janvier 1882 à Fécamp. Fils de Claude Ségaut (1853-1930), ingénieur pour la Compagnie centrale du gaz Lebon et directeur de l'usine à gaz de Fécamp.
Georges Ségaut, également ingénieur de formation, préfère le monde des lettres. Il débute dans la vie littéraire par des articles publiés sous le nom de Georges Normandy. En 1904, il collabore avec José de Bérys et Noré Brunel pour l'adaptation au théâtre de La Maison Philibert, un roman de l'écrivain Jean Lorrain, dont il est l'un des grands amis. En 1907, il devient d'ailleurs légataire testamentaire de Jean Lorrain, mort l'année précédente. Dès lors, Normandy se charge de promouvoir l'œuvre littéraire de son ami disparu. Il écrit un premier ouvrage sur Jean Lorrain, puis fait paraître des inédits et des rééditions de l'écrivain décédé, dont il rédige introductions et préfaces.
Il décède le 2 décembre 1946 à Paris et repose dans la sépulture familiale Ségaut au Cimetière des Batignolles
Source Wikipédia